Douce et étrange lumière au fond de ton iris
Intense lueur dans le chatoiement de ta voix ma belle
Absence. Tu es une chatte (silencieuse) dans le coffre de ma tête.
Les vibrations de ton souffle ébranlent la charpente osseuse
Intérieure. Je me présente à toi, débarrassé.
Et pourtant, je te soupçonne dans le moindre cliquetis d’insectes
La moindre moustache de souris, le moindre point à la fin de la moindre phrase.
Je te sais tapis dans les tulipes de mes érections, dans le soufre de mes dents
Dans la substance noire et les fleuves de lumière.
mardi 6 décembre 2011
Les origines de la Parole
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3 commentaires:
Quand est-ce que tu vas sortir ton roman, Mario ?
Anonyme, qui es-tu ?
Pour répondre à ta question, je ne le sais pas. Avant ma mort, j'espère.
Wow, c'est magnifique !
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