Le prochain slam aura lieu MERCREDI le 11 avril au Patro Vys. À ne pas manquer. (Voir message plus bas.)
En passant c'est l'anniversaire de naissance d'Isidore Ducasse aujourd'hui, mieux connu sous le nom du Conte de Lautréamont (qui aurait été un excellent slameur, à n'en pas douter)
5 commentaires:
Bonjour Mario, j'ai découvert ton blog grâce à un courriel de Mario Miotti, un photographe. Je ne connaissais pas le slam, intéressant, (je me base sur ce que j'ai vu dans la vidéo de toi sur youtube). J'ai aussi remarqué que tu as été mon professeur en français 103 au cégep du Vieux-Mtl, je crois. Tu étais un type spontané et passionné. Tu étais un sacré bon prof et orateur! Je vois maintenant pourquoi tu semblais si passionné par la poésie.... Voilà, un petit mot pour te dire merci, j'ai passé mon cours parce que le cours était intéressant, sinon je serais allé jouer dehors avec le soleil printanier. Ton blog est dans mes favoris et j'envois le lien à d'autres.(Combien d'erreurs dans ce texte?!)
LOL
Merci pour la tonne de compliments.
Comme tu n'as pas signé ton message, ça demeure un brin mystérieux.
Ça fait chaud au coeur (beau cliché pour un poète, mais il traduit bien ce que je ressens.)
Mille fois merci.
Ducasse, sans doute un bon blogueur. Mais il aurait dépassé son trois minutes. Assurément. « Je me propose, sans être ému, de déclamer à grande voix la strophe sérieuse et froide que vous allez entendre. » (Les Chants de Maldoror - Chant I)
«Debout sur le roc, je me servis de mes mains, comme d’un porte-voix, et je m’écriai, pendant que les crabes et les écrevisses s’enfuyaient vers l’obscurité des plus secrètes crevasses : "O toi, dont la natation l’emporte sur le vol des longues ailes de la frégate, si tu comprends encore la signification des grands éclats de voix que, comme fidèle interprétation de sa pensée intime, lance avec force l’humanité, daigne t’arrêter, un instant, dans ta marche rapide, et, raconte-moi sommairement les phases de ta véridique histoire.» (Les Chants de Maldoror - Chant IV)
Tu as probablement raison, pour les trois minutes. Lautréamont avait tout un souffle.
Relis ton commentaire, tu as fait un beau lapsus dans la première phrase...
;)
Ouia! J'prends trop de blog!
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