mercredi 29 octobre 2008

Quand on n'a que l'amour

4 commentaires:

Anonyme a dit...

Bouleversée. La main sur le coeur. Que c'est beau! Que ça fait du bien. Et qu'il est beau avec tous ces mots qu'il nous lance dans le micro. Non, je n'avais pas oublié mais ça faisait longtemps que je n'avais pas rencontré le grand Jacques! Merci cher Mario de partager cet amour avec nous :-)
joannex

Mario Cholette a dit...

De rien, Joannex !
Je personnalise davantage mon blog !
Je crois que Brel est un bel exemple pour les slameurs. Mots, rythme et musique en un seul bloc. Il composait d'ailleurs parole et musique en même temps.
De plus, sa présence sur scène est également exemplaire.
J'ai l'intention de déborder du slam et de la poésie à l'occasion.

Anonyme a dit...

Tu sais pour moi, il est comme Vigneault, Aznavour et d'autres encore à qui on a suggéré de ne pas continuer, de ne pas chanter! Imagine s'ils avaient écouté. Tu vois d'ici la perte! Alors, continuer, continuer, continuer...
C'est très agréable ton débordement ;-) alors, gênes-toi pas.
À bientôt!
joannex

Anonyme a dit...

Je ne crois pas qu'en exposant Jacques Brel, Mario, tu sortes des chemins de la poésie. Je le considère, avec Brassens et Vigneault, comme un poète qui chante ses poèmes. D'ailleurs, il s'agit pour moi de ma plus grande influence en matière de poésie avec Nietzsche, preuve que la poésie est partout (peut-être même dans les sons).

Je trouve que la plus grande de ses qualités et son impudeur. Jamais je n'aurai vu un artiste se déversant autant dans ses mots et sur une scène. On a l'impression qu'il vomit ses tripes dans ses chansons et cela est une puissance artistique, selon moi, inégalée.

Suggestions d'écoute pour tous: Les vieux, Ces gens-là, Grand Jacques et L'ivrogne.

Alexis Lafleur